La chance, quand on a trouvé l’HOMME, c’est qu’on n’est jamais à l’abri d’une très très bonne surprise!
Ainsi, à force de m’entendre énumérer tous les auteurs qui seraient au salon du livre de Paris, il a pris en main un weekend en amoureux (merci belle-maman et beau-papa!) avec journée du samedi au salon pour moi, dimanche matin au musée Rodin pour nous et un petit tour chez Pierre Hermé (pour jolie princesse et ses macarons).
Arrivés à Paris sous un grand soleil (si, si) nous avons vite repris nos marques RER, métro, changement de ligne pour cause de colis suspect et enfin le parc des expositions.
J’ai beau suivre depuis quelques mois les auteurs de romance sur les réseaux sociaux et avoir donc une idée de l’engouement qu’elle génère, je n’étais pas du tout préparée à la foule qui se pressait devant les Editions Addictives ou Nisha, mes deux cibles premières vu le top de mes auteurs favorites. Visiblement les organisateurs non plus à en croire les files d’attente importantes autour des différents éditeurs qui gênaient considérablement le déplacement et la sécurité du secteur. Partie de là, je me suis dit que j’avais très peu de chances de croiser « mes » auteurs, mais qu’importe, j’en ai profité pour rencontrer des bookfriends et passer un très bon moment.
La maison Cyplog avait presque l’air prise en otage entre les deux files d’attente (Emma Green à ma gauche, Angel Arekin, Twiny B, Jena Rose et Lanabellia à ma droite). Elle a été l’occasion d’une belle rencontre, celle de Katja Lasan dont j’ai découvert le Talisman de Paeyragone, choisi pour mon adolescente délaissée et dégusté dès le train du retour.
Après quelques péripéties, dont des changements de secteur pour plus de place -mention spéciale à l’équipe de Nisha qui a fait face avec sourires et disponibilité à l’affluence, l’impatience et les contraintes logistiques-, j’ai enfin pu rencontrer une grande partie des auteurs dont je dévore les écrits, au grand dam de mon temps de sommeil et de mon banquier.
Angel Arekin, Lanabellia et Jena Rose, Twiny, Avril Sinner, Emma Green, toutes ces dames ont fait preuve de beaucoup de disponibilité et ont distribué sourire et gentillesse sans faiblir malgré la chaleur et une fatigue certainement importante. Etrange de mettre des visages sur les mots et les histoires que je lis jour après jour, surprise du niveau de mémoire des unes et des autres, reliant malgré notre nombre pseudos, noms réels et quelques éléments des différentes discussions.
Alors bien sûr, j’ai eu l’impression d’avoir couru un marathon en quatre heures, bien sûr, je n’ai pas pu voir toutes celles que je souhaitais remercier pour ces heures d’évasion, mais j’ai passé un excellent moment, … mon relevé de banque un peu moins, mais ça, pas la peine d’en parler!
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